Là où nous pensons être / 2015
Diptyques.
Tirages et développement de la pellicule réalisés chez moi, surimpression réalisée lors du tirage.
J’ai toujours habité la ville, j’ai toujours chéri les arbres.
On en parle souvent comme de deux univers séparés, voire en opposition, la ville, les forêts…
J’y vois un dialogue permanent, une danse presque immobile.
Enclave de forêt en ville ou enclave de ville en pleine nature ? Qui contemple qui ? Qui cherche à établir le contact ?
Ce projet est une interprétation visuelle de ce dialogue silencieux.